Alison Parker partage le résumé d’un article dans la revue « Water Policy » qui évalue une tentative de renforcement des capacités des parties prenantes du gouvernement sur l’introduction des technologies d’assainissement.
Pour étendre les services d’eau, d’assainissement et d’hygiène à tous, des innovations technologiques sont nécessaires qui prennent en compte un large éventail de points de vue des parties prenantes. Nous rapportons les expériences d’une intervention qui visait à renforcer les capacités d’évaluation et d’introduction des technologies en Ouganda, au Ghana et au Burkina Faso en développant le cadre d’applicabilité technologique (TAF), un outil qui aboutit à un atelier de notation multipartite. Le projet a également utilisé des alliances d’apprentissage pour renforcer les capacités autour de l’introduction de la technologie. Cet article explore comment les attitudes des parties prenantes ont changé au cours du projet et évalue l’approche de l’Alliance d’apprentissage. Il constate que même si l’intervention a réussi à connecter les parties prenantes d’une manière originale, l’adoption du FAT peut être entravée par un manque d’implication du gouvernement dans les premières étapes du projet.
